Description
En 1957, l’Italie est au tout début de la vague des Péplums, des films mythologiques. Depuis une quinzaine d’années auparavant, on produisait des films dits de “fantaisie”, englobant les films de cape et d’épée ou de chevalerie, vague lancée par Riccardo Freda. Giacomo Gentilomo, déjà auteur de quelques films, surtout axés sur le réalisme social, décide de rendre hommage à Richard Wagner, qu’il a découvert lors de ses études d’arts en Allemagne, et à qui depuis, il voue une vénération sans bornes. Le résultat est ce “Chevalier blanc “, une fresque épique et lyrique, basée sur la légende des Nibelungen, rythmée au son de la tétralogie wagnerienne, et rendant aussi grâce au diptyque de Fritz Lang.