Description
S’inspirant de la vie – souvent courte – de « quinquis » célèbres (El Pirro, El Torete, El Jaro…), le cinéma espagnol s’empare du genre dans la deuxième moitié des années 70, grâce à un cinéaste comme Antonio de la Loma. Eloy de la Iglesia donnera ses lettres de noblesse au cinéma quinqui, révélant la misère d’une partie de la jeunesse espagnole, laissée-pour-compte, devant entrer dans la délinquance et la prostitution pour survivre.