Description
Elle était belle et très jeune, et son corps se balançait sous une poutre. Un homme, anonyme, avait téléphoné pour signaler le meurtre. Pour le commissaire VALENTINI, cette affaire sentait le maniaque. C’était aussi l’avis du Procureur, un Procureur en jupon, qui avait le beau visage de Giovanna RALLI. Ils étaient en dessous de la réalité : bientôt, l’horreur allait s’installer dans leur enquête, dans leur vie. Une horreur en forme de hachoir sur fond de trafic de call-girls, jeunes, très jeunes… (vhs-survivors.com)