Le Chat qui fume livre un emballage de grande qualité avec une restauration de toute beauté : image et son se révèlent irréprochables.
Les bonus, de leur côté, sont instructifs, en particulier les interviews sans langue de bois et souvent drôles de Monica Swinn et Erika Cool qui retranscrivent l’atmosphère détendue et bon enfant du basculement, opéré au mitan des seventies, entre érotisme et porno.
Image
Son
Bonus
Intérêt final
Les +
- Une très belle édition avec une version intégrale rare à l’image impeccable, des bonus pertinents et souvent amusants, sans doute plus intéressants que le film lui-même.
Les –
- Un film assez mineur et dispensable, à réserver aux plus curieux.
Frédéric Pizzoferrato