Pressbook One Body Too Many

S’avèrent peu nombreux les sites et autres médias qui ont relayé la sortie de One Body Too Many ; le film est sans doute trop exigeant pour un public désormais habitué à des œuvres plus sexy.

Il faut donc saluer Horreur.com (Stéphane Erbisti, rédacteur en chef de Toutes les couleurs du Bis qui s’y connaît d’ailleurs pas mal en sexy), Toxic Crypt (David Didelot), Sueurs Froides (Sophie Schweitzer) et L’Écran Fantastique (Sébastien Socias) qui ont fait leur travail d’information vis-à-vis de leurs lecteurs.

Horreur.com a même consacré un article plutôt long à One Body Too Many qu’il conseille aux nostalgiques, et qui représentent justement la cible de la Scare-ific Collection.

Une curiosité d’antan, s’inscrivant dans la lignée de The Old Dark House de James Whale, c’est ainsi que Sébastien Socias décrit One Boy too Many dans l’Écran Fantastique 396. Nous partageons cette affirmation et sommes bien heureux de permettre sa découverte.

David Didelot a consacré une excellente critique à One Body Too Many, en rappellant les origines du film et en particulier que ces Poverty Row d’Hollywood produits dans les années 30 et 40 et dont est issu le film de Frank McDonald, représentent l’essence même de la série B : « des récits brefs shootés pour une bouchée de pain et tournés en deux temps trois mouvements, mélos à mort souvent, tout en ombres menaçantes et en scream queens vintage, tout en jeunes premiers bien coiffés et en bad guys de grande lignée »

Sophie Schweitzer, quant à elle, note les décors impressionnants composés d’un laboratoire juché sur une tour et le manoir truffé de passages secrets., ainsi que son aspect fortement divertissant : « Difficile de ne pas sourire devant les grimaces de Jack Haley, ni de rester de marbre face aux intrigues à tiroir donnant lieu à un embroglio assez jubilatoire. Pas à un seul moment on ne s’ennuie, le film étant conçu comme une sorte de train fantôme suivant la forme d’un thriller à suspense. Les amateurs de série B et de comédie horrifiques se régaleront devant ONE BODY TOO MANY. »

Alors, pour paraphraser David, aurez-vous le bon goût d’essayer One Body Too Many ?

Vous pouvez lire l’intégralité de l’article d’Horreur.comici

Pour l’article de Toxic Crypt, rendez-vous à cette adresse

Quant à Sueurs Froides, cela se passe ici

NB :
Avec The Scare-ific Collection, Sin’Art sort de l’ombre des films oubliés des années 30, 40 et 50 : One Body Too Many est le sixième volume de la collection que vous pouvez retrouver ici :