The Death Kiss, entre Orson Welles et Tod Browning

C’est lors d’un énième visionnage d’Ed Wood de Tim Burton que nous avons eu la surprise de voir une référence à The Death Kiss d’Edwin L. Marin (1932), second volume de la Scare-ific Collection, partageant le plan avec l’affiche de Citizen Cane et de Dracula.

C’est une très belle image, associant, dans le même plan, un cinéma renommé, celui de Welles et Browning, et un cinéma de série B, rehaussé par l’enthousiasme d’Ed Wood et de sa compagne Dolores.cliquez ici

NB : One Body Too Many est le premier volume de la Scare-ific Collection, permettant à Sin’Art de sortir de l’ombre des films oubliés des années 30, 40 et 50 :